Résumé :
Mari, Anna et Fredrik, trois amis de longue date, ont monté une société
au doux nom du Peigne de Cléopâtre. Leur créneau : résoudre les
problèmes des gens. Chacun apporte ses compétences, qui en jardinage,
qui en déco d’intérieur ou en comptabilité… et la PME se développe avec
succès.
Chacun patauge quelque peu dans sa propre existence, en quête d’identité ou d’âme sœur, et trouve un réconfort non négligeable dans l’idée de venir en aide à autrui.
Jusqu’au jour où une vieille dame se présente avec une étrange requête : elle souhaite que Le peigne de Cléopâtre élimine son mari.
Difficile de résister à un filon qui promet d’être lucratif, et les candidats se bousculent bientôt au portillon.
Chacun patauge quelque peu dans sa propre existence, en quête d’identité ou d’âme sœur, et trouve un réconfort non négligeable dans l’idée de venir en aide à autrui.
Jusqu’au jour où une vieille dame se présente avec une étrange requête : elle souhaite que Le peigne de Cléopâtre élimine son mari.
Difficile de résister à un filon qui promet d’être lucratif, et les candidats se bousculent bientôt au portillon.
Mon avis :
Je retrouve avec plaisir
la plume de Maria Ernestam. En effet, Le peigne de Cléopâtre est le troisième
roman de l’auteure que je découvre après avoir adoré Les oreilles de Buster et
aimé Patte de velours, œil de lynx. Une nouvelle fois, elle a conquis mon cœur
de lectrice avec ce très beau roman.
Alors méfiez-vous des apparences car ce livre n’est pas une lecture « légère » comme je l’ai supposé en lisant le résumé de la quatrième de couverture ou comme le laisse présager le début du roman. Les personnages sont beaucoup plus complexes qu’ils n’y paraissent, sont tourmentés et ont eu des enfances difficiles. Maria Ernestam préserve le suspense, les dépeint par petites touches et nous laisse entrevoir certains pans de leur personnalité qu’au compte-goutte. Mari, Anna et Fredrik sont touchants et j’ai passé un très bon moment en leur compagnie. Ce sont trois amis de longue date qui décident de monter leur entreprise : Le peigne de Cléopâtre qui a pour objectif d’aider les gens à faire face à leurs problèmes du quotidien. Seulement très vite, une vieille dame maltraitée par son mari leur demande d’assassiner ce dernier. Leur entreprise prend alors une tournure qu’ils n’avaient pas envisagée.
Alors méfiez-vous des apparences car ce livre n’est pas une lecture « légère » comme je l’ai supposé en lisant le résumé de la quatrième de couverture ou comme le laisse présager le début du roman. Les personnages sont beaucoup plus complexes qu’ils n’y paraissent, sont tourmentés et ont eu des enfances difficiles. Maria Ernestam préserve le suspense, les dépeint par petites touches et nous laisse entrevoir certains pans de leur personnalité qu’au compte-goutte. Mari, Anna et Fredrik sont touchants et j’ai passé un très bon moment en leur compagnie. Ce sont trois amis de longue date qui décident de monter leur entreprise : Le peigne de Cléopâtre qui a pour objectif d’aider les gens à faire face à leurs problèmes du quotidien. Seulement très vite, une vieille dame maltraitée par son mari leur demande d’assassiner ce dernier. Leur entreprise prend alors une tournure qu’ils n’avaient pas envisagée.
J’ai aimé le coté
enquête qui n’en ai pas vraiment une mais qui permet de découvrir qui a fait
quoi. Les révélations finales sont inattendues et j’ai beaucoup aimé les
retournements de situations. Quand on croit avoir deviné la fin et connaitre le
fin mot de l’histoire, l’auteure arrive encore à nous surprendre. Rien que pour
ça, je dis chapeau ! Et puis l’écriture est très poétique, et j’ai
vraiment réussi à m’imprégner des différents lieux comme le café d’Anna ou je
pouvais presque sentir l’odeur du café fraichement moulu ou encore de ses tartes
ou les très belles descriptions de l’Irlande.
Encore une fois,
je suis conquise et je ne devrais pas attendre très longtemps avant de me
replonger dans un autre de ses romans.
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