lundi 30 septembre 2024

Our Fault

 

Résumé : 
Nick and Noah's rocky relationship is struggling through its worst moment, and it seems that nothing can go back to the way it was before. They will have to surmount a new and frightening set of challenges to finally understand if they are really made for each other or if being apart is their only chance to be happy.
Love is not always enough, and forgiveness sometimes doesn't fix what's been broken. But can you forget such a strong connection? How can memories tattooed on the heart be erased? Will they be able to leave the past behind and start over?

Mon avis : 
Sans aucun doute le meilleur tome de la trilogie.

Beaucoup de suspense, de tension entre Noah et Nick qui sont séparés mais ne peuvent pas éviter de se croiser et de retomber dans les bras l’un de l’autre avant de se quitter a nouveau. Ce sont un peu les montagnes russes en termes d’émotions et le roman se lit en seulement quelques heures malgré les 500 pages.

Noah et Nick vont beaucoup me manquer, même avec tous leurs défauts et parfois une certaine toxicité dans leur relation, je pense qu'ils ont eu la fin qu'ils méritaient et surtout que les lecteurs attendaient tous.

mercredi 25 septembre 2024

Le restaurant des recettes oubliées

Résumé : 
Caché dans les ruelles de Kyoto se trouve le petit restaurant des Kamogawa d’où s’élèvent d’exquises odeurs de riz cuit, de nabe et de légumes sautés. En plus de savoureux repas faits maison, Nagare et sa fille Koishi proposent une expérience qui sort de l’ordinaire : reproduire un plat que leurs clients ont en mémoire, mais dont la recette est depuis longtemps oubliée. Nabeyaki udon, sushis au maquereau, tonkatsu ou spaghettis à la napolitaine... pour chaque nouveau plat, la famille Kamogawa enquête et propose à ses convives de déguster une nouvelle fois les délicieux mets qui ont marqué leur vie. Et grâce à un soupçon de magie, ces saveurs perdues enfin retrouvées permettent de rêver à de nouveaux départs.

Mon avis : 
Le restaurant des recettes oubliées est un roman très japonais et tout en délicatesse.

Kamogawa Nagare et sa fille Koishi sont des enquêteurs culinaires qui gèrent un restaurant atypique : ils aident les clients à redécouvrir des saveurs gardées au fin fond de leur mémoire. Chaque histoire peut être lue séparément mais elles s’enchainent toutes très bien et j’ai aimé que chaque client évoque ses souvenirs. Celle que j’ai prefere est l’histoire de cette femme qui s’est enfuit quand le jeune homme l’a demandé en mariage. J’ai trouvé cela extrêmement touchant.

Hisashi Kashiwai fait réfléchir le lecteur sur combien certains plats sont liés à la sphère de nos souvenirs et de nos émotions et forcément on se pose la question de quel plat on n’aimerait nous même gouter un nouvelle fois. Pour moi, je dirais le pot-au-feu de ma grand-mère.

Pour autant, j’ai tendance à penser que le livre lent et extrêmement répétitif : chaque histoire a exactement le même déroulement, les mêmes scènes qui se répètent et parfois même le même échange de paroles entre les deux restaurateurs et le client. Je pense que les répétitions auraient pu être évité en changeant quelques phrases par exemple.

J’espère que le deuxième tome se renouvelle un peu car je crains qu’il soit un peu répétitif. Pour autant, j’ai quand même bien envie de le lire juste pour saliver à l’évocation de tous ces plats qui semblent tellement délicieux.

mardi 24 septembre 2024

L'eau rouge


Résumé : 
Croatie, 1989. Dans un bourg de la côte dalmate, Silva, 17 ans, disparaît durant la fête des pêcheurs.
L'enquête menée par Gorki Sain fait émerger un portrait complexe de cette jeune fille qui prenait et revendait de la drogue.
Quand le régime de Tito s'effondre, l'inspecteur est poussé à la démission et l'affaire classée. Seule la famille de Silva poursuit obstinément les recherches.
À travers ce drame intime et la quête de la vérité par la famille, L’Eau rouge déploie dans une grande fresque les bouleversements de la société croate : chute du communisme, guerre de 1991 à 1995, effondrement de l’économie et de l’industrie, statut des vétérans de guerre, explosion de l’industrie touristique et spéculation foncière, investissements étrangers et corruption…
Ou comment les traumatismes de l’Histoire forgent les destins individuels.

Mon avis : 
L’eau rouge débute en 1989 à Misto, une petite ville fictive près de Split. La famille Vela – père, mère, fils et fille – dîne, puis une fête est organisée dans le village. Le lendemain matin, Silva Vela, dix-sept ans, a disparu. Ses parents, son frère et la police la recherche sans savoir que les recherches dureront 27 ans. En effet, cette disparition n'aurait pas pu arriver à un pire moment : le pays est en pleine transition, les troubles politiques commencent, la guerre se profile à l'horizon. Avec tout ce qui se passe, la disparition de la jeune fille finit par tomber dans l'oubli. D’autant que chaque piste se termine par une impasse et que certains éléments indiquent que Silva n'a pas disparu, mais qu'elle s'est peut-être volontairement enfuie de chez elle.

C’est un récit passionnant, une chronique vivante sur les changements et la guerre qui a conduit à l’éclatement de la Yougoslavie. Le roman s’étend de 1989 à 2016 est l’on entrevoit le déclin des usines, la guerre, l'essor du tourisme et l'émergence d'appartements et d’hôtels qui changent complètement l'apparence des petites villes dans toute la Dalmatie. Pour avoir visiter le sud de la Croatie, la Bosnie et le Monténégro, l’année dernière, j’ai adoré retrouver certains endroits dans ce roman et surtout je comprends mieux que certains endroits portent toujours les marques de cette guerre.

C’est un roman qui est différent des romans policiers classiques, on est plus sur un roman social qui montre comment la disparition de Silva a eu un impact sur ses parents, son frère et sur leur vie de famille. Les dernières pages font des révélations que l’on n’attendait pas. J’ai aimé cette fin même si je l’espérais plus positive.

jeudi 19 septembre 2024

Trente jours d'obscurité


Résumé : 
“N’importe quel imbécile peut écrire un polar en un mois !” Hannah en est persuadée lorsqu’elle interpelle Jørn Jensen, star du polar au Danemark. Snob, alcoolique et solitaire, Hannah aussi est romancière, mais elle écrit de la ‘‘vraie’’ littérature. Même si dernièrement elle est en panne d’inspiration. Aussi, quand Jensen la met au défi d’écrire un polar en trente jours, accepte-t-elle. Direction l’Islande, ses tempêtes de neige et sa nature indomptable, le décor idéal pour un roman policier. Mais le voyage prend une autre tournure lorsqu’un adolescent est retrouvé mort dans le village où Hannah a posé ses valises. Elle s’improvise alors enquêtrice. Mais ses maladresses et son insistance ne sont pas au goût de tous. Entre orgueil et écueils, Hannah trouvera-t-elle enfin sa propre lumière ?

Mon avis : 
Avec « Trente jours d’obscurité », Jenny Lund Madsen parvient à se moquer des romans policiers scandinaves d'une manière très intelligente et divertissante. Le livre est très bien écrit, passionnant, et une fois commencé, il est difficile de le lâcher. Mais qui dit parodie, dit une accumulation de clichés du type "Je pourrais appeler à l'aide, mais au lieu de cela, je pense simplement que je vais me jeter dans la gueule du loup" qui parfois m’ont fait rouler des yeux.

L’intrigue policière en elle-même est plutôt bien menée même si quelques éléments sont plutôt évidents. J’ai adoré l’atmosphère, l’Islande, la neige, les jours très courts, la nature et les maisons bien cozy avec le feu dans la cheminée.

C’est plus Hannah qui m’a dérangé et que j’ai le moins apprécié. Elle est d’abord très clichée, elle fourre son nez dans les affaires des autres mais surtout prend des décisions stupides et risquées. Dans une parodie, c’est plutôt normal et je suis entièrement d’accord mais elle a aussi ce côté hautain que je n’aime pas. J’ai eu l’impression que le fait d’être danoise lui donné une position de supériorité par rapport aux islandais qu’elle rencontré. J’aurais aussi aimé que les personnages islandais secondaires soient plus développés, qu’on en sache davantage sur eux, sur leur vie…

En tout cas, j’ai lu que l’auteure écrivait aussi des scenarios de films ou de séries, je pense que ce roman ferait une superbe adaptation.

mercredi 18 septembre 2024

Le harem du roi


Résumé : 
Seini, médecin, et Boussoura, professeure de littérature, mènent une vie épanouie à Yaoundé. Quand Seini, fils de roi, est appelé à prendre la succession de son père, il ne résiste pas à l'attrait du pouvoir, malgré les réserves de son épouse. Devenu lamido, commandeur des croyants et garant des traditions ainsi que de la religion, il se transforme en souverain tout-puissant.


Mon avis :
Après “Les impatientes” et “Coeur de Sahel”, j’avais hâte de lire ce nouveau roman et c’est encore une fois un vrai coup de cœur.

On fait la connaissance de Seini et Boussoura, un couple moderne qui vit à l’occidental, marié depuis vingt-cing ans. Il est médecin et elle est professeure, ils ont quatre enfants aujourd’hui adultes. Quand le lamido, chef politique et religieux, meurt, Seini décide de se lancer dans la course au trône. Il va alors devoir revenir sur ses convictions et se plier aux traditions au détriment de Boussoura. Le roman se déroule sur une vingtaine d'années dans les murs clos du palais où se côtoie des Djaagués, les esclaves et les Soulaabés, concubines du lamido, offertes par leur famille.

C’est un roman très émouvant sur l’amour et les changements qui qui surviennent dans une relation mais aussi sur la polygamie, le pouvoir et l’argent et bien sur les traditions qui perdurent. L’auteure essaye de rompre le silence et donner la parole à toutes ses femmes soumises de la société camerounaise : Une société patriarcale où la femme n’est la que pour le plaisir de l'homme. Toutes les femmes que l’on rencontre au fil des pages, sont extrêmement touchantes, prisonnière de leur sort et de cette cage dorée.

C’est un roman intense, une lecture qui secoue, Djaïli Amadou Amal a un vrai talent de conteuse et pour la troisième fois, elle signe un roman magnifique a la hauteur des deux précédents.

lundi 16 septembre 2024

L'été où tout a commencé


Résumé : 
« C’était ce fameux été qui n’existe qu’une fois dans la vie. Cet été que tout le monde a connu, j’espère ; l’été où tout bascule. Oui. Peut-être n’est-ce pas tant le chagrin que la nostalgie de cet été-là – de ce miracle absolu des premières fois, de sa beauté foudroyante. »

Eté 77, dans une petite ville de l’ouest. Friedrich, seize ans, redoute les semaines qui s’annoncent : il doit passer des épreuves de rattrapage après une très mauvaise année scolaire. Pas de vacances en famille pour lui : il révisera chez son grand-père, un homme sévère. Heureusement, il y a Alma, Johann – et Beate, la fille de la piscine, en maillot de bain vert bouteille.
Friedrich va tout découvrir en même temps : l’amour et la mort, l’amitié, la peur, le respect et la confiance.
Jamais il n’oubliera cet été-là.

Mon avis : 
C’est l’été 1977, l’école est terminée mais Friedrich a raté son année scolaire. S’il veut passer dans la classe supérieure, il va devoir aller au rattrapage en septembre. Au lieu de partir en vacances avec sa famille, il reste chez sa grand-mère Nana et son mari Walther pour réviser latin et mathématique. Mais c’est surtout l’été ou sa vie va changer puisqu’il va rencontrer son premier amour, Beate ; il découvrira la profonde affection que son grand-père a pour lui ; il entrera en possession du journal de sa grand-mère et découvrira son histoire et enfin il verra pour la première fois la fragilité de son meilleur ami Johann.

Ce livre se lit quasiment d’une seule traite, c’est un magnifique roman initiatique, vraiment touchant. Friedrich est vraiment attachant, et j’ai beaucoup aimé comment l’auteur arrive à merveille à nous transmettre des émotions si fortes. L’adolescence n’est pas une période facile mais au fil des pages, on arrive vraiment bien à cerner l’enfant qui sommeille toujours en Friedrich mais aussi le futur adulte qu’il deviendra, et toutes les questions importantes qui sommeillent en lui : l’amour, la sexualité, la mort. Etant moi-même, maman de deux garçons, forcément, je les ai imaginé dans quelques années vivant un été comme celui-ci, et c’est sans doute pour cette raison que le roman m’a plu.


Suis ma voix


Résumé : 
Depuis la mort de sa mère, Klara n’est plus la même, sa santé mentale est au plus mal. Mais grâce au soutien de sa sœur et de son beau-frère, elle remonte peu à peu la pente. Ce qui l’apaise le plus, c’est son rituel quotidien pour écouter l’émission de radio Suis ma voix. La voix du présentateur, Kang, un adolescent d’un an son aîné, et les débats qu’il anime la passionnent. Lorsque Klara ose contacter l’émission, elle ne s’attend pas à recevoir de réponse et encore moins un message privé de Kang en personne. Entre les deux adolescents brisés par la vie, la complicité est immédiate. Une lueur d’espoir signe d’amour naissant ?

Mon avis : 
Le film doit sortir bientôt avec Berta Castañé et Jae Woo alors avant j’ai eu envie de rencontrer Klara et Kang avec le roman. J’ai passé un bon moment, mais j’ai moins aimé que la trilogie – A travers ma fenêtre. Ici, on est plus sur un roman pour adolescents, avec une histoire d’amour naissante au lycée qui aborde des thèmes difficiles comme la perte d’un être cher, la dépression, le harcèlement scolaire…

Il m’a manqué un petit quelque chose de plus adulte pour vraiment accrocher. Klara et Kang sont mignons mais ils n’ont absolument pas le charisme de mon couple préféré : Raquel et Ares. J’ai trouvé le personnage de Klara plutôt intéressant mais Kang est un garçon très ennuyeux. J’ai eu du mal à comprendre pourquoi toutes les filles étaient folles de lui dans le roman. Il semble mignon, il a une belle voix a la radio mais sinon… et bien rien, je n’ai pas réussi à lui trouver quelque chose. Je pense que c’est pour cette raison que je suis un peu déçue par cette lecture.

Pour autant c’est une lecture facile, qui fait du bien, le livre se lit très rapidement et les chapitres courts s’enchainent très bien. J’espère que je serai plus conquise après avoir vu le film dans quelques mois.

lundi 9 septembre 2024

Le ghetto intérieur


Résumé : 
Vicente Rosenberg est arrivé en Argentine en 1928. Il a rencontré Rosita Szapire cinq en plus tard. Vicente et Rosita se sont aimés et ils ont eu trois enfants. Mais lorsque Vicente a su que sa mère allait mourir dans le ghetto de Varsovie, il a décidé de se taire.
Ce roman raconte l'histoire de ce silence - qui est devenu le mien.

Mon avis : 
Le ghetto intérieur aurait pu être un très bon roman mais le style et la construction du roman ont rendu ma lecture laborieuse.

L’écriture de l’auteure est lourde et pleine de répétitions qui alourdissent le roman. Je pense que cela aurait fait une bonne nouvelle mais certainement pas un roman qui est beaucoup trop étiré.

On assiste à la destruction de Vicente, qui culpabilise d’avoir fui la Pologne, tandis que sa mère et son frère subissent le nazisme à l’intérieur du ghetto de Varsovie. Je n’ai pas compris pourquoi, il fait payer à sa famille surtout sa femme qui fait tout pour maintenir l’unité familiale, a ses enfants qui n’y sont pour rien. A cause de ce style si froid, on n’arrive qu’à éprouver de l’agacement pour lui.

Le jeu de l'âme


Résumé
New York, 2011. La journaliste d’investigation Miren Triggs reçoit la photo d’une adolescente bâillonnée. Sur l’enveloppe, un message anonyme : « Tu as envie de jouer ? ». En légende, ces mots : « Gina Pebbles, 2002 ».
Gina, portée disparue neuf ans plus tôt dans le quartier du Queens, est-elle encore vivante ?
Simultanément, dans le même périmètre, une autre adolescente est retrouvée crucifiée. Y a-t-il un lien entre les deux affaires ?
Miren et son mentor, Jim Schmoer, se lancent à corps perdu dans une double enquête. À la clé : un obscur secret dont la révélation pourrait chasser à jamais les fantômes qui hantent Miren...
Après La Petite Fille sous la neige, best-seller international et série n°1 sur Netflix, Javier Castillo renoue avec ses héros dans un thriller qui nous plonge au cœur d’un jeu macabre, aussi fascinant qu’effrayant.

Mon avis : 
J’attendais la traduction de ce second roman, mettant en scène Miren, depuis des mois et je suis ravie de ma lecture. Le jeu de l’âme est vraiment prenant, une suite a la hauteur du premier roman.

Après le succès de sa première enquête, et la publication d’un roman, Miren reçoit une enveloppe qui l’encourage à enquêter sur une autre disparition. Aidée de Jim, son mentor et ancien prof et Miller, le policier meurtri par des années de recherches d’enfants disparus (dont le sien), ils vont tout trois enquêter sur la mort d’une jeune fille sur fond de fanatisme religieux.

Les chapitres courts s’enchainent, le rythme est rapide et l’action omniprésente. Une fois le roman commençait, il est très difficile de le lâcher.

Les trois personnages sont tellement attachants, on ressent énormément d’empathie pour eux, qui sont tous les trois meurtris par la vie. J’ai beaucoup aimé le rapprochement entre Miren et Jim, ainsi que Miller et son épouse, un peu d’amour dans ce roman si noir ça ne fait pas de mal.

La fin laisse entrevoir une troisième enquête pour nos trois héros, celle de Daniel et j’attends la traduction avec impatience.

Qu'à jamais j'oublie


Résumé :
Et si votre famille n'était pas celle qu'elle prétendait être ?
Nina Kircher, une sexagénaire, veuve d'un photographe mondialement célèbre, passe quelques jours dans un hôtel de luxe dans le sud de la France. Soudain, elle quitte la piscine où elle vient de se baigner pour suivre un homme jusqu'à son bungalow puis, sans raisons apparentes, elle le poignarde dans un enchaînement inouï de violence, avant de s'enfermer dans un mutisme complet.
Pour tenter de comprendre cet acte insensé, son fi ls Théo, avec lequel elle a toujours entretenu des relations difficiles, n'a d'autre choix que de plonger dans le passé d'une mère dont il ne sait presque rien. De Paris à la Suisse en passant par la Côte d'Azur, il va mener sa propre enquête, jusqu'à découvrir des secrets inavouables et voir toute sa vie remise en question...
L'histoire bouleversante d'une femme décidée à prendre en main son destin.
Un suspense redoutable qui vous manipule jusqu'à la dernière page.

Mon avis : 
Encore un très bon roman de Valentin Musso, prenant jusqu’à la dernière page mais peut-être un peu prévisible.

On suit Théo, le personnage principal qui découvre que sa mère vient d’être arrêtée pour une tentative de meurtre. Pour Théo, c’est le début d’une enquête sur son passé et sa famille. Connaît-on vraiment nos parents ? Que s’est-on d’eux et de leur vie avant notre naissance ?

C’est un roman intéressant, pleins de bonnes questions se posent au fil des pages. L’enquête est intéressante même si on voit les choses arrivaient très rapidement et qu’il n’y a pas de grandes surprises. En tout cas, le livre dénonce le sort des femmes, les emprisonnements abusifs et les violences sexuelles.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Théo même si j’ai trouvé peu crédible qu’il tombe amoureux aussi vite….