jeudi 2 mai 2019

Ne la quitte pas des yeux

Résumé : 

Journaliste pour une dépêche locale, David Harwood pensait avoir eu une bonne idée pour le weekend : quoi de mieux, en effet, qu'une journée dans un parc d'attractions avec leur fils de quatre ans, Ethan, pour changer les idées dépressives de son épouse Jan ? 

Or, à peine sont-ils arrivés que Jan se volatilise. David fait bientôt figure de suspect numéro 1 aux yeux de la police car rien ne semble confirmer l'état dépressif de Jan, que lui seul semble connaître, ni même que la jeune femme était bien avec lui au parc d'attractions. 

Pour prouver qu'il n'a pas tué sa femme, David va s'acharner à retrouver la trace de Jan. De surprises en révélations, David va devoir se rendre à l'évidence : il ne sait rien de cette femme... 

Qui est Jan ? Quel terrible secret s'est-elle employée à cacher toutes ces années ? Et jusqu'où est-elle prête à aller pour le protéger ?

Mon avis : 

Ne la quitte pas des yeux est le troisième roman de Linwood Barclay que je lis et je dois dire qu’il ne me laissera pas un souvenir impérissable. Certes, le suspense est là et les pages se tournent très vite mais j’ai trouvé ce roman moyen.

Notre narrateur, David, est journaliste, marié et père de famille. Mais un jour sa femme disparaît et la police le suspecte très rapidement. Il décide donc de mener l’enquête lui-même, et il n’est pas au bout de ses surprises. Scénario efficace et prenant pour le lecteur mais le roman est sombre et je n’ai pas réussi à m’attacher à aucun personnage.

La première partie du roman sert d’installation et c’est celle que j’ai trouvé la plus longue. Ensuite heureusement, les autres parties du roman sont plus prenantes.

L’intrigue m’a aussi semblé un peu tiré par les cheveux et peu crédible. Le passé de la femme de David, son boulot de journaliste et ses enquêtes. Tout est un peu « trop gonflé » et finalement sans grande surprise. Bref, c’est prenant mais certainement pas le meilleur roman de l’auteur.

1 commentaire:

  1. je l'avais lu et même pas finis. J'avais vu la fin arrivé gros comme une maison.

    RépondreSupprimer