Résumé :
Et si votre pire cauchemar devenait réalité ?Quand votre vie bascule, vous avez le choix : sombrer dans le chagrin ou tout faire pour vous relever.
Frédéric Caussois a choisi.
Pour lui, aucun compromis, il doit savoir, connaître la vérité.
Ma critique :
Avant de commencer cette critique, je tiens à remercier Joël des éditions Taurnada pour sa confiance et l’envoi de ce roman avant sa parution.
Le vase rose, c’est l’histoire de Frédéric Caussois, qui dirige sa boite, est marié et père du petit Tao. La vie est belle pour lui jusqu’au jour où tout bascule. Tao est malade, il lui donne une cuillère de sirop et Tao meurt en quelques minutes sous ses yeux, empoissonné à l’arsenic. Comment ce sirop qu’il vient juste d’aller chercher à la pharmacie a-t-il été empoisonné ? Il va tout faire pour le savoir.
C’est le premier roman d’Eric Oliva que je lis et je dois dire que cet auteur aime beaucoup balader son lecteur. Il y a une multitude de personnages secondaires et qui se croisent à divers moment, mais pendant les trois quart du roman je me suis demandé comment ils allaient tous se retrouver. Et puis finalement, toutes les pièces du puzzle s’emboitent pour former une intrigue très prenante. C’est pour dire, j’ai dévoré le livre en deux jours ! Je ne peux pas trop parler de la fin, de peur de révéler certains éléments de l’intrigue mais je m’attendais à tout sauf à ça. J’adore les romans ou nouvelles avec une chute, un retournement de situation totalement inattendue et j’ai été gâté ici.
Coté personnages Fréderic m’a plu, j’ai aimé sa détermination à connaitre la vérité. Il est attachant et l’on prend plaisir à être à ses cotés lors de l’enquête. Mais mon personnage préféré reste Linda que j’ai trouvée tellement touchante. J’ai presque regretté que Fréderic soit marié et qu’ils ne puissent pas finir ensemble… Dommage ils auraient formé un très joli couple.
Le style de l’auteur m’a plu et je n’ai pas été surpris en lisant dans sa biographie qu’il était policier de métier. On sent que l’on a affaire à quelqu’un qui s’y connait, notamment dans les abréviations des différents corps de la police ou des procédures de l’enquête. Il y a aussi certains petits clins d’œil qui m’ont fait rire : « Depuis toujours, Luan avait le don de régaler ses hôtes avec presque rien. Et même si ses origines semblaient lui avoir apporté des facilités quant à l'utilisation de certaines épices, elle savait en saupoudrer ses mets sans excès. Ses filets de poisson avaient disparu des assiettes de chacun en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire.
Comme souvent, les actualités nationales amenèrent leur lot d'argumentations sur la politique très approximative du moment. Rien ne semblait plus aller dans ce pays au bord de la crise de nerfs et bienheureux seraient ceux qui parviendraient à s'en tirer sans trop de dommages. Heureusement, la famille Caussois n'avait pas à se plaindre, sauf peut-être au mois de septembre, lorsque Bercy, énorme machine à la mémoire indéfectible, s'empressait de lui faire parvenir ses fameuses feuilles d'imposition. »
Bref, c’est un très bon roman à suspense, à paraitre le 3 mai que je ne peux que vous recommander. De mon côté, il faut que je lise l’histoire que Fréderic lit à son fils le soir et dont le titre fait référence : "Le vase rose du salon", une histoire du "Petit Nicolas" de Sempé et Goscinny.
Le vase rose, c’est l’histoire de Frédéric Caussois, qui dirige sa boite, est marié et père du petit Tao. La vie est belle pour lui jusqu’au jour où tout bascule. Tao est malade, il lui donne une cuillère de sirop et Tao meurt en quelques minutes sous ses yeux, empoissonné à l’arsenic. Comment ce sirop qu’il vient juste d’aller chercher à la pharmacie a-t-il été empoisonné ? Il va tout faire pour le savoir.
C’est le premier roman d’Eric Oliva que je lis et je dois dire que cet auteur aime beaucoup balader son lecteur. Il y a une multitude de personnages secondaires et qui se croisent à divers moment, mais pendant les trois quart du roman je me suis demandé comment ils allaient tous se retrouver. Et puis finalement, toutes les pièces du puzzle s’emboitent pour former une intrigue très prenante. C’est pour dire, j’ai dévoré le livre en deux jours ! Je ne peux pas trop parler de la fin, de peur de révéler certains éléments de l’intrigue mais je m’attendais à tout sauf à ça. J’adore les romans ou nouvelles avec une chute, un retournement de situation totalement inattendue et j’ai été gâté ici.
Coté personnages Fréderic m’a plu, j’ai aimé sa détermination à connaitre la vérité. Il est attachant et l’on prend plaisir à être à ses cotés lors de l’enquête. Mais mon personnage préféré reste Linda que j’ai trouvée tellement touchante. J’ai presque regretté que Fréderic soit marié et qu’ils ne puissent pas finir ensemble… Dommage ils auraient formé un très joli couple.
Le style de l’auteur m’a plu et je n’ai pas été surpris en lisant dans sa biographie qu’il était policier de métier. On sent que l’on a affaire à quelqu’un qui s’y connait, notamment dans les abréviations des différents corps de la police ou des procédures de l’enquête. Il y a aussi certains petits clins d’œil qui m’ont fait rire : « Depuis toujours, Luan avait le don de régaler ses hôtes avec presque rien. Et même si ses origines semblaient lui avoir apporté des facilités quant à l'utilisation de certaines épices, elle savait en saupoudrer ses mets sans excès. Ses filets de poisson avaient disparu des assiettes de chacun en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire.
Comme souvent, les actualités nationales amenèrent leur lot d'argumentations sur la politique très approximative du moment. Rien ne semblait plus aller dans ce pays au bord de la crise de nerfs et bienheureux seraient ceux qui parviendraient à s'en tirer sans trop de dommages. Heureusement, la famille Caussois n'avait pas à se plaindre, sauf peut-être au mois de septembre, lorsque Bercy, énorme machine à la mémoire indéfectible, s'empressait de lui faire parvenir ses fameuses feuilles d'imposition. »
Bref, c’est un très bon roman à suspense, à paraitre le 3 mai que je ne peux que vous recommander. De mon côté, il faut que je lise l’histoire que Fréderic lit à son fils le soir et dont le titre fait référence : "Le vase rose du salon", une histoire du "Petit Nicolas" de Sempé et Goscinny.
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