Résumé :
Noël 1900.
Victor Narraway, le supérieur de Thomas Pitt, et sa nouvelle femme Vespasia font un voyage en train de Jaffa à Jérusalem. Bien qu’ils passent un agréable moment ensemble et fassent de nouvelles rencontres, Vespasia commence bientôt à soupçonner que quelqu’un les suit et les épie.
Bientôt, une de leurs nouvelles connaissances est retrouvée assassinée, le seul indice étant un mystérieux morceau de parchemin écrit dans une langue étrangère, et un message implorant Narraway de poursuivre la quête du défunt. Persuadés de l’importance de cette quête, Narraway et Vespasia décident d’exaucer la dernière volonté de leur ami décédé.
Le parchemin en poche, ils poursuivent leur voyage vers Jérusalem, mais le danger les guette et les craintes de Vespasia se confirment : avec un observateur à leurs trousses, Victor et Vespasia connaîtront-ils le même funeste destin que leur ami, ou parviendront-ils à rejoindre Jérusalem indemnes ?
Mon avis :
Quand on fait le
bilan lecture d’une année, on évoque souvent ses coups de cœur. Ici, je vais plutôt
vous parler de ma déception de l’année 2018 : Un Noël à Jérusalem. Tous
les ans, je me régale avec le nouveau roman de Noël d’Anne Perry mais une fois
n’est pas coutume, je me suis ennuyée à mourir.
On fait la
rencontre de Victor Narraway et de son épouse Vespasia qui décident de passer
les fêtes de fin d’année en Israël. Dans leur hôtel, il passe la soirée avec un
homme qui se fait assassiné quelques heures plus tard et les charge d’une
mission à accomplir.
Déjà le couple
est d’un ennui pas possible, pas de charisme, pas de présence, j’ai eu l’impression
qu’il était à peine effleuré. Ensuite, c’est les descriptions religieuses, références
à la bible constante qui m’ont agacé au plus haut point. Et puis l’enquête qui
retombe comme un soufflet : j’ai même eu l’impression que la mort de cet
homme était un prétexte mais qu’au final on n’en sait absolument pas plus… Bref
fouillez !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire