Résumé :
Yves Harteloup est un rejeton déclassé de la grande bourgeoisie, meurtri par la guerre. En vacances sur la côte basque, il retrouve les matins radieux de son enfance et s'éprend de Denise, une femme mariée qui appartient à son milieu d'autrefois. Très vite, Denise l'aime et ne vit que pour lui. Mais à mesure que son amant se révèle mélancolique et fuyant, elle accepte, comme un passe-temps, la compagnie d'un autre homme et perd définitivement celui qu'elle aime. La perte de l'innocence et le goût amer du bonheur dans le Paris des années folles. Le premier roman, jamais réédité, d'Irène Némirovsky, qui n'avait que vingt-trois ans à sa publication, en 1926.
Mon avis :
Le malentendu, premier roman d’Irène Némirovsky m’a beaucoup plu. On n’y fait la connaissance d’Yves Harteloup, un enfant gâté revenu traumatisé et amer de la Première Guerre Mondiale. En vacances à Hendaye, sur la cote Basque, il tombe sous le charme de Denise, une femme mariée. Il passe un mois à s’aimer mais de retour à Paris, Yves est à nouveau maussade. Il doit travailler pour gagner sa vie et leur différence de classe se fait sentir. Quant à Denise, elle rêve de passion tandis que son amant n’est plus capable d’amour.
Le titre, Le malentendu, est vraiment bien trouvé et résume à merveille la fin (mais je ne vous en dis pas plus).
C’est un très beau roman qui nous fait découvrir la France des années 1920. Les plaies de la Première Guerre ne sont pas complètement guéries mais on rêve d’insouciances, de vacances en bord de mer. Paris est aussi très bien décrits, et on sent l’amour qu’Irene Némirovsky avait pour la capitale et pour la France en général.
Je trouve dommage que ce roman ne soit pas plus connu et j’ai très envie de lire d’autres romans de l’auteure.
Mon avis :
Le malentendu, premier roman d’Irène Némirovsky m’a beaucoup plu. On n’y fait la connaissance d’Yves Harteloup, un enfant gâté revenu traumatisé et amer de la Première Guerre Mondiale. En vacances à Hendaye, sur la cote Basque, il tombe sous le charme de Denise, une femme mariée. Il passe un mois à s’aimer mais de retour à Paris, Yves est à nouveau maussade. Il doit travailler pour gagner sa vie et leur différence de classe se fait sentir. Quant à Denise, elle rêve de passion tandis que son amant n’est plus capable d’amour.
Le titre, Le malentendu, est vraiment bien trouvé et résume à merveille la fin (mais je ne vous en dis pas plus).
C’est un très beau roman qui nous fait découvrir la France des années 1920. Les plaies de la Première Guerre ne sont pas complètement guéries mais on rêve d’insouciances, de vacances en bord de mer. Paris est aussi très bien décrits, et on sent l’amour qu’Irene Némirovsky avait pour la capitale et pour la France en général.
Je trouve dommage que ce roman ne soit pas plus connu et j’ai très envie de lire d’autres romans de l’auteure.
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