Résumé :
Téo, étudiant en médecine légale, passe le plus clair de son temps au
laboratoire de la faculté. Il ne s'intéresse pas aux femmes, sauf celles
qu'il dissèque. Jusqu'au jour où il rencontre Clarice, dont il devient
obsédé au terme d'une brève rencontre. Lorsque Téo apprend que Clarice
va quitter la ville pour plusieurs mois, il ne voit qu'une solution pour
éviter la séparation: la kidnapper, la droguer et la séquestrer loin de
tous et de tout. Ainsi il pourra lui prouver, lentement mais sûrement,
qu'ils sont faits l'un pour l'autre, en s'assurant que rien ni personne
ne vienne troubler le cours de leurs jours parfaits.
Mon avis :
Jours parfaits nous emmène au Brésil alors préparer vos valises, embarquement immédiat. Dévoré en seulement quelques heures, je n’ai pas pu poser ce livre avant de connaitre le fin mot de l’histoire tant il est addictif.
On fait la connaissance de Théo, un jeune étudiant en médecine qui souhaite devenir légiste. On se rend vite compte qu’il est dérangé quand il rencontre Clarice et devient vite obsédé par elle, au point de la séquestrer, droguer pour qu’elle tombe amoureuse de lui. « Une relation amoureuse est aussi un apprentissage de la privation. Ils étaient désormais attachés l'un à l'autre, et il emmenait Clarice avec lui partout et toujours: il ne pouvait plus ni vivre ni même mourir sans elle. »
J’ai beaucoup aimé ce roman où pour une fois, le personnage central est le méchant. Théo est difficile à aimer et on ne peut lui pardonner toutes les abominations qu’il commet mais j’ai aimé me retrouver à ses côtés, de voir comment il pensait et ce qu’il était prêt à faire pour arriver à ses fins.
Clarice est un personnage franchement énervant, capricieuse et égocentrique mais on finit vite par avoir pitié d’elle face à son agresseur. En tout cas, la construction est intéressante car on en viendrait presque à préférer le méchant et à détester la gentille de l’histoire. J’ai aimé la confusion que l’auteur crée ici.
Les personnages secondaires notamment les mères de nos deux héros sont aussi habillement construits et on comprend vite d’où viennent leur névrose : « Helena avait de nouveau une expression apeurée et s'accrochait au bras de son mari. A cet instant, il comprit que toutes les mères étaient comme elle: dissimulatrices, intéressées et prêtes à toutes les fourberies pour protéger leurs enfants. »
Je ne connaissais pas Raphael Montes mais une chose est sûre c’est que je vais vite lire ses autres romans car j’ai adoré sa plume. Une dose de suspense, une dose d’humour noir, une dose d’intrigue, mélangez le tout et ça vous donne une très bonne tambouille signé par ce jeune auteur très prometteur.
Je suis conquise par le dépaysement et ce voyage au Brésil m’a beaucoup plu. J’ai aimé m’éloigner de la grande ville pour découvrir des lieux plus intimes, plus préservés comme cet hôtel près de la forêt et du lac ou encore cet île avec sa grande plage. Ce n’est absolument pas la première idée que l’on a de ce grand pays et du coup j’ai aimé cette balade.
J’ai adoré la fin, je ne m’y attendais pas et c’est une belle surprise. J’adore les chutes de ce genre et je suis vraiment ravie d’avoir sorti ce roman de ma PAL lors de ce week-end à 1000.
On fait la connaissance de Théo, un jeune étudiant en médecine qui souhaite devenir légiste. On se rend vite compte qu’il est dérangé quand il rencontre Clarice et devient vite obsédé par elle, au point de la séquestrer, droguer pour qu’elle tombe amoureuse de lui. « Une relation amoureuse est aussi un apprentissage de la privation. Ils étaient désormais attachés l'un à l'autre, et il emmenait Clarice avec lui partout et toujours: il ne pouvait plus ni vivre ni même mourir sans elle. »
J’ai beaucoup aimé ce roman où pour une fois, le personnage central est le méchant. Théo est difficile à aimer et on ne peut lui pardonner toutes les abominations qu’il commet mais j’ai aimé me retrouver à ses côtés, de voir comment il pensait et ce qu’il était prêt à faire pour arriver à ses fins.
Clarice est un personnage franchement énervant, capricieuse et égocentrique mais on finit vite par avoir pitié d’elle face à son agresseur. En tout cas, la construction est intéressante car on en viendrait presque à préférer le méchant et à détester la gentille de l’histoire. J’ai aimé la confusion que l’auteur crée ici.
Les personnages secondaires notamment les mères de nos deux héros sont aussi habillement construits et on comprend vite d’où viennent leur névrose : « Helena avait de nouveau une expression apeurée et s'accrochait au bras de son mari. A cet instant, il comprit que toutes les mères étaient comme elle: dissimulatrices, intéressées et prêtes à toutes les fourberies pour protéger leurs enfants. »
Je ne connaissais pas Raphael Montes mais une chose est sûre c’est que je vais vite lire ses autres romans car j’ai adoré sa plume. Une dose de suspense, une dose d’humour noir, une dose d’intrigue, mélangez le tout et ça vous donne une très bonne tambouille signé par ce jeune auteur très prometteur.
Je suis conquise par le dépaysement et ce voyage au Brésil m’a beaucoup plu. J’ai aimé m’éloigner de la grande ville pour découvrir des lieux plus intimes, plus préservés comme cet hôtel près de la forêt et du lac ou encore cet île avec sa grande plage. Ce n’est absolument pas la première idée que l’on a de ce grand pays et du coup j’ai aimé cette balade.
J’ai adoré la fin, je ne m’y attendais pas et c’est une belle surprise. J’adore les chutes de ce genre et je suis vraiment ravie d’avoir sorti ce roman de ma PAL lors de ce week-end à 1000.
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