Résumé :
Athènes, 2017. Mikhalis Krokos s'apprête à lancer son nouveau livre, mais l'été s'annonce cauchemardesque : la Documenta, l'une des plus grandes expositions internationales d'art contemporain, a envahi la ville. Cerise sur le gâteau, son amie Kris se retrouve impliquée dans le vol d'un tableau, et son vieux camarade Harry, roi des mondanités, ne semble pas étranger à l'affaire. Krokos n'aura pas d'autre choix que partir en quête d'une croûte supposée sans valeur, entre ruelles surchauffées d'Athènes et villas chics d'Hydra, sans savoir que la situation va bien vite le dépasser.
Sous une épaisse couche de peinture, ce sont les dessous les plus sombres du monde de l'art qui se dévoilent... Dans les règles de l'art est un polar au rythme effréné, où l'on saute dans des taxis, pousse les portes des bars de nuit, va de performances en happenings toujours plus décalés. Jusqu'au bad trip final.
Mon avis :
Une lecture un peu différente de ce que je peux lire d'habitude mais qui m'a bien plus finalement.
Mikhalis Krokos quitte Paris pour retrouver Athènes, et publier son prochain livre, une biographie d'un musicien de jazz. Mais en ville, on ne parle que de la Documenta, une grosse exposition d'art contemporain. Il retrouve aussi ses amis, notamment la jolie Kris qui va l'entraîner malgré lui dans une enquête.
Mon avis :
Une lecture un peu différente de ce que je peux lire d'habitude mais qui m'a bien plus finalement.
Mikhalis Krokos quitte Paris pour retrouver Athènes, et publier son prochain livre, une biographie d'un musicien de jazz. Mais en ville, on ne parle que de la Documenta, une grosse exposition d'art contemporain. Il retrouve aussi ses amis, notamment la jolie Kris qui va l'entraîner malgré lui dans une enquête.
Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé l'écriture de Makis Malafékas. Des chapitres très courts remplis de suspense mais surtout une écriture très cinématographique. Je pense que ce roman ferait une très bonne adaptation en film ou en série.
Kroskos m'a plu, c'est un peu le anti-héros, le personnage que l'on imagine absolument pas se lancer dans une enquête mais finalement, il se débrouille plutôt pas mal.
Mais surtout le roman, en plus d'être un polar, c'est surtout une belle satire sur l'art contemporain, sur les énormes sommes d'argent en jeu, sur l'élitisme du milieu qui spécule, sur le blanchiment d'argent.
Enfin, j'ai aimé découvrir une ''autre Grèce'' : loin des hôtels, des plages, des iles. Ici, on souffre de la canicule avec Krokos, on profite des nuits pour boire de la vodka et se rendre dans des bars louches ou boire des cocktails hors de prix pour être vu avec les organisateurs de la Documenta. Cela ne m'a pas découragé et je rêve toujours un jour de découvrir Athènes.
Mais surtout le roman, en plus d'être un polar, c'est surtout une belle satire sur l'art contemporain, sur les énormes sommes d'argent en jeu, sur l'élitisme du milieu qui spécule, sur le blanchiment d'argent.
Enfin, j'ai aimé découvrir une ''autre Grèce'' : loin des hôtels, des plages, des iles. Ici, on souffre de la canicule avec Krokos, on profite des nuits pour boire de la vodka et se rendre dans des bars louches ou boire des cocktails hors de prix pour être vu avec les organisateurs de la Documenta. Cela ne m'a pas découragé et je rêve toujours un jour de découvrir Athènes.
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