Résumé :
Week-end de la Saint-Jean sur l’île de Sandhamn. Les jeunes fêtards ont envahi les pontons, le port grouille de bateaux blancs. Musique à fond et alcool à flots. Dans la foule, une jeune fille avance en titubant avant de s’effondrer sous les yeux de la police. Pendant ce temps, Nora Linde s’apprête à célébrer la Saint-Jean avec son nouveau compagnon Jonas et sa fille Wilma. Mais la fête tourne au cauchemar lorsque, dans la nuit, Wilma disparaît. Le lendemain matin, le cadavre d’un garçon de seize ans est retrouvé sur la plage. L’inspecteur Thomas Andreasson, l’ami d’enfance de Nora, est dépêché sur les lieux. Les premiers éléments de l’enquête lui en révèlent toute la difficulté, chacun ayant sa propre version des faits. Qui est la victime et qui le meurtrier de cette nuit d’été ?
Mon avis :
J'ai posé mes valises pour la cinquième
fois sur l'île de Sandhamn grâce à cette nouvelle enquête signée Viveca
Sten. J'avais vu cette saison en série sur Arte, et quelques images me sont
revenues lors de la lecture mais cela ne m'a pas gêné car j'avais oublié la
fin. Je ne me souvenais plus du coupable et ce roman m’a donc réservé quelques
surprises.
Nous sommes au cœur de l'été, lors du week-end
de la Saint-Jean. De nombreux jeunes se retrouvent sur l'île pour faire la fête
tandis que l'alcool et la drogue coulent à flot. Cette soirée sera fatale à
Victor, un adolescent de seize ans, tandis que Wilma, la fille de Jonas disparaît.
Que s’est-il passé lors de cette nuit la plus longue de l’année, c’est ce que
Thomas et son équipe vont essayer de comprendre.
Encore une fois c'est une enquête passionnante
qui se dévore. De plus c'est toujours un plaisir de retrouver Thomas et Nora,
deux personnages que j'adore. C'est bien écrit, les chapitres se succèdent et
le suspense monte progressivement tandis que l’étau se resserre autour du
coupable. Cette saga est vraiment une de mes favorites et il me tarde de
découvrir les tomes suivants (et j’espère que tous les tomes seront bientôt
traduits car à ce jour il y en a dix parus en suédois contre seulement sept en
français).
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