Résumé :
Caterina Pellegrini, musicologue italienne enseignant à Manchester,
accepte avec joie un poste de documentaliste au sein d’une Fondation à
Venise. Contre toute attente, la place n’est pas de tout repos. Deux
cousins se disputent l’héritage d’un ancêtre dont la succession serait
tranchée par de vieux documents auxquels seule Caterina a accès. Le
fameux ancêtre, compositeur baroque et diplomate, remplissait des
missions cruciales auprès des cours allemandes pour le Saint-Siège.
À mesure que Caterina se passionne pour la biographie de cet homme, elle soulève un mystère : le musicien espion aurait-il trempé dans la plus grave affaire de meurtre de son temps ?
À mesure que Caterina se passionne pour la biographie de cet homme, elle soulève un mystère : le musicien espion aurait-il trempé dans la plus grave affaire de meurtre de son temps ?
Mon avis :
Je n'aime pas dire du mal d'un roman, préférant d'habitude l'abandonner en me disant que peut-être un jour, je le reprendrai et l'apprécierai à ça juste valeur. Seulement ici, je suis allée jusqu'au bout en espérant une intrigue pleine de suspense et une fin digne de ce nom et bien non, rien de tout ça. Juste une ennui mortel, sans mauvais jeu de mot bien sur.L'écriture de Donna Leon est agréable et heureusement ça relève un peu le niveau car en dehors de ça : rien. Intrigue inexistante et plate, pas de suspense, pas d'attachement pour les personnages bref, je ne vous recommande pas ce roman.
Dommage car j’étais bien tentée par un voyage a Venise au fil des pages, mais la encore j'ai trouvé que ça manquait de descriptions pour faire rêver le lecteur.
"Sergio l'invita à dîner, mais Caterina n'avait aucune envie de se rendre aussi loin que San Polo. Comme revenaient vite les habitudes qu'on avait d'une ville : voilà qu'elle renâclait à l'idée de quitter son propre quartier et voyait une invitation a Sans Polo ou Santa Croce comme à peine différente d'une expédition dans l'Himalaya. Que se passerait-il, s'il lui fallait franchir le pont della Liberta pour se rendre sur la terre ferme ? Devrait-elle prendre son passeport ? Refuser de quitter Venise par peur de nourritures bizarres, ou de maladies exotiques ?"