Résumé :
Une jeune journaliste qui a coupé les ponts avec son père revient en Afrique du Sud à la demande pressante de ce dernier : il est accusé de meurtre et supplie sa fille de l'aider. Le père embarque sa fille dans un voyage semé de pièges et de mensonges, à la fois fuite en avant et revisitation d'un terrifiant passé.Mon avis :
Déception, c'est le premier mot qui me vient à l'esprit après avoir tant lutté pour arriver au bout de ce roman. Presque trois semaines que je lutte pour arriver au bout, un roman qui m'a valu une panne de lecture et couper l'envie de lire... (Heureusement, l'envie est depuis revenue)
J'ai eu envie de découvrir d'autres horizons et je me suis tournée vers ce roman sud-africain avec curiosité. Pour avoir des collègues originaire de ce pays, ils parlent très souvent des violences, du racisme et de l'insécurité qui règnent là-bas. Alors j'étais curieuse de lire Je l'ai appelée chien.
La magie n'a pas opéré et je me suis très rapidement ennuyée :
- Les personnages tout d'abord ne sont absolument pas attachants. Notre héroïne et journaliste est ennuyeuse, son père, lui est un personnage intéressant, un vrai anti-héros : misogyne, raciste, violent mais donc encore une fois pas très attachant.
- L'intrigue et la construction du roman m'ont donné du fil à retordre. Trop de personnages, de lieux, de flashback, de retour dans le passé et de mensonges. Du coup, j'ai vite décroché et j'ai eu un mal fou a situer tout ça.
Bref, c'est une déception mais ayant d'autres romans d'auteurs sud-africains dans ma PAL, je retenterai très vite une escale dans ce pays.
Lu dans le cadre du challenge :
- Le tour du monde en huit ans
Ah il me tentait bien celui-ci... Mais vu ton avis, je vais passer pour le moment !
RépondreSupprimer