lundi 11 mars 2024

Quelqu'un d'autre

 

Résumé : 
« Il y a trois vérités : ma vérité, ta vérité, la vérité. »
Côte d'Azur - Printemps 2023. Au large de Cannes, un yacht dérive entre les îles de Lérins. À son bord repose Oriana Di Pietro, éditrice italienne et héritière d'une célèbre famille milanaise. Agressée sauvagement, elle succombera après dix jours de coma.
Qui a tué Oriana ? Un homme et trois femmes livrent leur version de l'histoire : Adrien, le mari de la victime, pianiste de jazz séduisant et mystérieux ; l'insaisissable Adèle, sa jeune maîtresse ; Justine, la policière locale chargée de l'enquête et Oriana enfin, à travers le récit bouleversant des dernières semaines de sa vie.
Personne ne ment. Mais personne n'est d'accord sur la vérité... Fascinant et audacieux, ce suspense psychologique imprévisible s'impose comme l'un des romans les plus réussis de Guillaume Musso.

Mon avis :
Très déçue par Quelqu’un d’autre, je m’attendais a vraiment mieux de la part de Guillaume Musso.

Il y a beaucoup de suspense et très vite le roman devient très difficile a lâcher tant on a envie de connaitre le coupable. C’est bien la le seul point positif car pour le reste, j'ai trouvé que :
- Les personnages etaient détestables
- Le dénouement autour d’Oriana et Adele, vraiment improbable et tirés par les cheveux
- La fin a l’eau de rose entre Justine et Adrien m'a fait roulé des yeux.
- Les longueurs des articles de journaux au début pour exposer l’intrigue plutôt que du simple récit m'a un peu gaché la lecture.

On est loin de certains romans de l’auteur malheureusement.

Le pavillon des combattantes


Résumé : 
En pleine pandémie de grippe espagnole, l'ancien monde est en train de s'effondrer. À la maternité, des femmes luttent pour qu'un autre voie le jour. 1918. Trois jours à Dublin, ravagé par la guerre et une terrible épidémie. Trois jours aux côtés de Julia Power, infirmière dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par la maladie. Partout, la confusion règne, et le gouvernement semble impuissant à protéger sa population.
À l'aube de ses 30 ans, alors qu'à l'hôpital on manque de tout, Julia se retrouve seule pour gérer ses patientes en quarantaine. Elle ne dispose que de l'aide d'une jeune orpheline bénévole, Bridie Sweeney, et des rares mais précieux conseils du Dr Kathleen Lynn - membre du Sinn Féin recherchée par la police. Dans une salle exiguë où les âmes comme les corps sont mis à nu, toutes les trois s'acharnent dans leur défi à la mort, tandis que leurs patientes tentent de conserver les forces nécessaires pour donner la vie.

Mon avis :
Le pavillon des combattantes est un roman féministe ou l’auteure dresse le portrait de plusieurs femmes fortes, qui soignent, qui accouchent dans la douleur et qui luttent pour leur survie dans un monde d’hommes.

Au début, j'ai eu un peu de mal à m'y mettre, à cause des nombreuses descriptions médicales qui ont tendance à nous faire perdre le fil de l’intrigue. Le rythme du roman est donc un peu étrange mais au final, j’ai passé trois jours intenses aux côtés de Julia et Bridie.

La description de Dublin en 1918 est vraiment réussite et nous sommes frappé par la pauvreté, l’occupation britannique et le combat pour voir naitre la république d’Irlande, et bien sur l’épidémie de grippe. Emma Donoghue raconte aussi les atrocités que l’Église catholique a fait subir a toutes ses femmes qui tombaient enceintes hors mariage.

J’ai beaucoup aimé Julia qui est très humaine et empathique, c’est aussi une très bonne infirmière. J’aurai aimé en savoir davantage sur Tim, son frère ou sur Bridie (partie un peu trop rapidement). C’est un roman qui a encore plus de sens, puisqu’il est sorti en pleine pandémie du Covid.

vendredi 8 mars 2024

Journal d'un vide


Résumé : 
Puisqu'elle est la seule femme de son équipe, c'est Mme Shibata, une jeune trentenaire diplômée, qui hérite des tâches quotidiennes les plus ingrates. Faire le café, ranger la salle de réunion, laver les tasses sales de tous ses homologues masculins... Mais un jour, dans un accès de rébellion non prémédité, elle refuse.
L'odeur d'un mégot se consumant au fond d'une énième tasse de café lui donne la nausée. Du fait de sa grossesse, annonce-t-elle. Seule ombre au tableau : Mme Shibata n'est pas enceinte... Une mécanique folle se met alors en marche tandis qu'une nouvelle vie s'offre à elle. Sa condition la protège désormais des heures supplémentaires, de la photocopieuse et de la machine à café. Elle peut enfin se reposer, suivre des cours d'aérobic prénatale, et même... assister à sa première échographie. Alors que son ventre grossit et que la frontière avec la réalité s'estompe, une question demeure : jusqu'où cette « grossesse » peut-elle aller ? Un récit plein d'audace et de surprises sur la maternité et la place des femmes dans le monde du travail.

Mon avis : 
Un récit intéressant sur la place de la femme dans la société japonaise. Nous suivons le quotidien d’une jeune trentenaire, qui sur un coup de tête annonce à ses collègues de travail qu’elle est enceinte. Ce roman est donc son journal de grossesse et la transformation de sa vie

La solitude n'est pas évoquée, c'est un sentiment que l'on ressent en lisant le livre. C'est une ambiance, un roman contemplatif comme seuls les écrivains japonais savent les écrire.

Il y a des passages qui m’ont plu, des bonnes réflexions sur la maternité et paternité mais d’autres chapitres m’ont semblé longs.

J'ai ressenti enormement de pitié pour la narratrice, sa santé mentale dont personne ne se preoccupe vraiment.

mardi 5 mars 2024

The woman inside


Résumé : 
Three young people.
Bill, a widower and single dad, is in a financial mess with bills to pay when he rents out a room in his apartment to Karla.
Karla left home to study law and to earn some money begins working as a cleaner at the palatial home of Steven and Regina Rytter. But inside their house it is clear that something is wrong with the doctor and his wife, who never leaves her bedroom.
Jennica is single and careerless when she meets Steven on Tinder. But just as she thinks her luck is changing, it soon becomes clear that Steven is hiding secrets of his own . . .
Two murders.
By the end of the summer Steven and Regina Rytter will be found dead in their home and the questions will begin . . .
One truth.
Ordinary people will do things they never thought possible when faced with extraordinary circumstances, and the truth is that the woman inside may hold the key to it all . . .

Mon avis : 
Une petite déception pour ce roman de M. T. Edvardsson, moi qui avais pourtant beaucoup aimé Une famille presque normale (En helt vanlig familj) ou encore Ceux d’à côté (Goda Grannar).

Un couple est retrouvé assassiné chez eux et très vite les suspicions tournent autour de trois personnages : Jennica, Bill et Klara. Le roman est bien construit avec des chapitres courts qui alternent entre les points de vue et des extraits d’interrogatoires des suspects. Le suspense omniprésent et jusqu’au bout on se demande ce que nous réserve l’auteur. Mais tout retombe très vite comme un soufflé car la fin inattendue que j’espérais n’est jamais arrivée… Dommage !

lundi 4 mars 2024

Un animal sauvage

 

Résumé : 
2 juillet 2022, deux malfaiteurs sont sur le point de dévaliser une grande bijouterie de Genève. Mais ce braquage est loin d'être un banal fait divers...

Vingt jours plus tôt, dans une banlieue cossue des rives du lac Léman, Sophie Braun s'apprête à fêter ses quarante ans. La vie lui sourit. Elle habite avec sa famille dans une magnifique villa bordée par la forêt. Mais son monde idyllique commence à vaciller.

Son mari est empêtré dans ses petits arrangements.

Son voisin, un policier pourtant réputé irréprochable, est fasciné par elle jusqu'à l'obsession et l'épie dans sa vie la plus intime.

Et un mystérieux rôdeur lui offre, le jour de son anniversaire, un cadeau qui va la bouleverser.

Il faudra de nombreux allers-retours dans le passé, loin de Genève, pour remonter à l'origine de cette intrigue diabolique dont personne ne sortira indemne. Pas même le lecteur.

Mon avis : 
C’est sans doute le roman que j’attendais le plus cette année (je l’avais d’ailleurs précommandé depuis plusieurs semaines) et encore une fois, j’ai adoré ce nouveau livre de Joel Dicker.

Ce roman se situe en Suisse ou un braquage a lieu à Genève. On suit plusieurs personnages qui sont tous connectés les uns aux autres. Si le scénario semble simple, bien évidemment, l’auteur nous réserve de nombreuses surprises et révélations et nous entraine sur de multiples fausses pistes.

On retrouve la même construction qui fait son style, les retours en arrière, le point de vue des différents personnages…. C’est une construction très efficace car une fois commencé, encore une fois, il est difficile de lâcher le roman.

Les personnages sont attachants, j’ai adoré Sophie, un personnage tellement complexe. L’histoire de la panthère et de ce roman italien, roman dans le roman est vraiment intéressant et m’a beaucoup plu également.

Je n’ai plus qu’une attente : vivement le prochain roman de l’auteur.



vendredi 1 mars 2024

The fiction writer


Résumé : 
Last night I dreamt I went to Malibu again…

The once-rising literary star Olivia Fitzgerald is down on her luck. Her most recent novel—a retelling of Daphne du Maurier’s Rebecca—was a flop, her boyfriend of nine years just dumped her and she’s battling a bad case of writer’s block. So when her agent calls her with a high-paying ghostwriting opportunity, Olivia is all too willing to sign the NDA.

At first, the write-for-hire job seems too good to be true. All she has to do is interview Henry “Ash” Asherwood, a reclusive mega billionaire, twice named People’s Sexiest Man Alive, who wants her help in writing a book that reveals a shocking secret about his late grandmother and Daphne du Maurier. But when Olivia arrives at his Malibu estate, nothing is as it seems. The more Olivia digs into his grandmother’s past, the more questions she has—and before she knows it, she’s trapped in a gothic mystery of her own.

Mon avis : 
La Californie est un endroit que j’aime beaucoup pour y avoir passé quelques temps avec mon mari pour notre voyage de noces. Et puis un roman qui parle de Daphne du Maurier forcément je fonce sans réfléchir.

J’ai passé un très bon moment avec ce roman mais j’ai eu plus de mal avec les personnages. L’intrigue est en effet très réussite, le suspense est là, la construction du roman est bonne avec des chapitre court et des révélations qui tombent toujours à pic. Mais j’ai eu beaucoup plus de mal avec Olivia et Ash. LA jeune femme est en effet, complétement naïve ou vraiment incapable de réfléchir par elle-même mais toutes ses décisions sont sans fondement. Ash est censé être attirant, un fantasme pour les lectrices féminines mais il m’a laissé de marbre. Il est beaucoup trop prétentieux, imbu de lui-même. Avec d’autres personnages, j’aurais sans doute eu un coup de cœur pour le roman mais là ça a un peu gâché ma lecture.

lundi 26 février 2024

Seven Days in June


Résumé : 
Eva Mercy is a single mother and bestselling erotica writer who is feeling pressed from all sides. Shane Hall is a reclusive, enigmatic, award-winning novelist, who, to everyone's surprise, shows up unexpectedly in New York.

When Shane and Eva meet at a literary event, sparks fly, raising not only their buried traumas, but also the eyebrows of the Black literati. What no one knows is that fifteen years earlier, teenage Eva and Shane spent one crazy, torrid week madly in love. While they may be pretending not to know each other, they can't deny their chemistry - or the fact that they've been secretly writing to each other in their books through the years.

Over the next seven days, amidst a steamy Brooklyn summer, Eva and Shane reconnect - but Eva's wary of the man who broke her heart, and wants him out of the city so her life can return to normal. Before Shane disappears though, she needs a few questions answered . . .

Mon avis : 
J’entends souvent parler de Tia Williams, je vois ses romans chez tous les libraires et ça y est, j’en ai enfin lu un et j’ai vraiment aimé.

Eva est une auteure de romans érotiques / fantastique. Elle adorerait écrire un roman plus « sérieux » mais elle élève seule sa fille et veut lui offrir l’enfance heureuse qu’elle n’a pas eu. Shane est un écrivain salué par la critique mais il reste très mystérieux. Ces deux-là se retrouve lors d’une conférence et tout le monde dans la salle se rend compte de l’alchimie entre eux. Car ils se connaissent, ont vécu une semaine de passion lors de leur adolescence et ne se sont plus revus depuis 15 ans.

J’ai adoré ce couple, leur blessure, leur enfance malheureuse et comment ils se débattent avec leurs démons aujourd’hui. Le style de l’auteure est plaisant, le roman se lit très vite et il m donne envie de découvrir les autres romans de Tia Williams.

Poussière blonde

 

Résumé : 
« Pauline avait conscience qu'elle n'était qu'un être ordinaire aspiré dans l'orbite d'une femme qui, elle, n'avait rien d'ordinaire... Être femme de chambre, c'était précisément cela : faire intrusion sans le vouloir dans l'intimité d'autrui, voir le contenu des corbeilles à papier, remarquer les titres des livres, lire les premières phrases des cartes, lettres et petits mots qui traînent. Tout était là, en pâture ; la vie entière de quelqu'un, dissimulée dans une chambre d'hôtel. »
Un matin, Pauline est appelée pour nettoyer la suite 614 du Mapes Hotel. Alors qu'elle pense trouver une chambre vide, une femme apparaît, hagarde : Mrs. Arthur Miller, alias Marilyn Monroe, dont le séjour à Reno marque la fin de son mariage avec le célèbre dramaturge et le tournage infernal d'un film à la légende noire, Les Désaxés.
Avec pour décor l'immensité aride du désert du Nevada et ses chevaux sauvages, les mustangs, Poussière blonde raconte le choc d'une rencontre inoubliable entre deux femmes que seul le hasard pouvait réunir.

Mon avis : 
Après Emile Zola, Tatiana de Rosnay signe une biographie romancée de Marilyn Monroe. Nous sommes en 1960 et Marylin est à Reno, pour tourner son dernier film, Les Désaxés. Pauline, une jeune femme de chambre au majestueux Mapes hotel est chargée de nettoyer la suite 614. Elle fait alors la rencontre de la célèbre actrice et commence une jolie amitié qui durera 3 mois et qui changera la vie de Pauline.

J’ai vraiment adoré ce roman, les descriptions de Marilyn sont superbes, et l’on sent la fragilité, la générosité, les blessures de la femme qui se cache derrière. C’est extrêmement émouvant.
J’ai aimé l’ambiance, la chaleur du désert, les chevaux sauvages qui rodent. Les années 1960 sont également très bien décrite : Le divorce des Miller, la liaison de Marilyn avec Yves Montand, la mort de Clark Gable et la playlist de fin pour se replonger dans la musique d’époque. Et même, si l’histoire est un peu longue à se mettre en place, on est très vite happé par Mrs Miller. Un roman que je recommande vraiment.

lundi 19 février 2024

Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique


Résumé : 
Âgée d'une vingtaine d'années, Nikki vient d'abandonner ses études et travaille dans un pub en attendant de trouver sa voie. Une émancipation peu courante pour une jeune femme sikh. Jusqu'au jour où, partie déposer une annonce au temple de Southall pour sa sœur en quête d'un mariage arrangé, Nikki tombe sur une étonnante offre d'emploi : on cherche une enseignante pour donner un cours de creative writing à un petit groupe de femmes siks. Elle aime lire, elle aime écrire, elle saute sur l'occasion.
Mais alors qu'elle pensait animer un atelier d'écriture à des apprentis auteurs, elle se retrouve face à une poignée de femmes majoritairement analphabètes, délicieusement déchaînées, bien décidées à parler d'érotisme et à partager leurs expériences amoureuses et familiales, souvent comiques, parfois bouleversantes, mais toujours pleines d'humanité...
Quand un banal club de lecture devient le théâtre des plus incroyables révélations... Au croisement entre Joue-la comme Beckham, Kaboul Beauté et Sept mers et treize rivières, un roman d'empowerment féminin grand public, qui questionne avec originalité et peps la place des femmes et le poids de leur voix dans une société dominée par la religion, la tradition et les hommes.

Mon avis : 
Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique est un roman touchant sur la condition de la femme. Si avec ce titre, on pourrait penser à un roman léger, il n’en est rien car il aborde des sujets graves comme les mariages forcés, les crimes d'honneur, la soumission des femmes….

Le roman se situe à Londres au cœur d’une communauté indienne. Nikki est une jeune femme moderne qui a grandit dans une famille d’immigrés indiens. Elle souhaite conservait sa liberté et s’oppose à sa mère et sa sœur. Elle décroche un job dans un temple ou elle va animer un atelier d’écriture mais les femmes qu’elles va rencontrer sont bien différentes de ce qu’elle avait imaginé.

On découvre une multitude de personnages vraiment intéressant et on découvre leurs tiraillements entre traditions ancestrales et désir de liberté. L’amour et le mariage sont des notions complètement différentes entre l’Europe et l’Inde et j’ai trouvé ses femmes très courageuses. Elles sont mariées jeunes, souvent a des hommes bien plus vieux, qu’elles ne connaissent pas et n’ont pas une vie facile ou heureuse.

C’est un roman poignant que je ne suis pas près d’oublier.

mardi 13 février 2024

Le Bon Mari de Zebra drive


Résumé : 
Femme mariée au plus doux des hommes, mère de famille comblée et célèbre propriétaire de la seule agence de détectives du Botswana, Mma Precious Ramotswe avait tout pour être heureuse. Jusqu'à ce que Mma Botumile, «la femme la plus déplaisante du Botswana», pousse la porte de l'Agence pour une affaire de mari volage... Voilà que soudain son mari, Mr J.L.B. Matekoni, décide de s'improviser enquêteur tandis que Mma Makutsi, récemment fiancée, semble préférer le shopping à son travail. Voudrait-elle quitter son poste d'assistante-détective ? C'est alors qu'un nouveau client se présente : des morts étranges sont survenues à l'hôpital de Mochudi, toujours un vendredi, dans le même lit, à la même heure... De quoi faire oublier à Mma Ramotswe les petits soucis du quotidien !

Mon avis :
Huitième tome des enquêtes de Mma Ramotswe et le voyage au Botswana est toujours un vrai plaisir.

Beaucoup de changements concernant les personnages : Mma Makutsi est sur le point de se mari, Mr J.L.B. Matekoni s’improvise détective et pense que son épouse a un amant, Charlie veut quitter son apprentissage… et en plus de ça, plusieurs enquêtes viennent s’ajouter à l’intrigue.

J’ai encore une fois été charmée par l’écriture de Alexander McCall Smith qui me donne toujours envie de découvrir le Botswana mais l’Afrique plus en général. Cette série est vraiment rafraichissante et fais vraiment du bien !