vendredi 10 mai 2019

L'île des disparus, tome 1 : La fille de l'eau

Résumé : 

La timide Tuva n'a pas grand-chose en commun avec ses camarades de classe. Elle ne se sent bien que sur l'île où elle habite, dans l'archipel de Stockholm dont elle connaît chaque recoin. Mais, alors que l'automne arrive, le changement se profile dans ce havre si tranquille. Des gens disparaissent en mer, des ombres se cachent sous les vagues et d'étranges lueurs éclairent la forêt. Lors d'une sortie, l'un des élèves s'évapore à son tour. La jeune fille se retrouve embarquée dans une terrible aventure, là où les vieilles superstitions des marins rencontrent la mythologie nordique...
 

Mon avis : 

La fille de l'eau est le premier tome de la trilogie de L'île des disparus et je dois dire que c’est prometteur pour la suite. C’est un roman écrit à quatre mains, en effet, mère et fille Sten s’associent ici pour leur première collaboration. Viveca Sten est connu en France pour sa saga Meurtres à Sandhamn mais on parle encore peu de Camilla pourtant connu en Suède.

J’ai beaucoup aimé ce roman mais si je peux me permettre juste une petite critique ça serait que le roman est vendu en France à partir de 12 ans alors qu’en Suède, la tranche d’âge est 8-12 ans. Et pour moi, clairement, il y a tromperie sur la marchandise dans l’hexagone. Le roman est bien trop jeunesse pour un public qui rentre dans l’adolescence. Je chipote, je chipote mais bon, passons plutôt aux restes de mes arguments qui ne sont que favorables concernant cette lecture.

L’intrigue est passionnante et le suspense monte progressivement. On attend les révélations finales avec impatience et je dois dire que je n’ai pas été déçu. Le roman part dans le fantastique, mêle la mythologie scandinave et les légendes à son histoire et c’est juste extrêmement réussi.

Les personnages sont attachants, Tuva d’abord qui est une jeune fille vraiment courageuse, Rasmus qui n’a plu également et tous deux formes une très belle équipe. Ils me tardent de les retrouver dans de prochaines aventures.

Enfin la sensibilisation du jeune public a la pollution en mer Baltique mais qui peut s’étendre à toutes les mers et océans de la planète est forcément une excellente chose et on ne peut que saluer la démarche.

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